St Jean de Boiseau eut la chance de traverser la tourmente révolutionnaire sans trop en souffrir, contrairement à bien d’autres agglomérations voisines qui en sortirent complètement décimées, alors même que son territoire contenait des points stratégiques importants comme le château d’Aux qui permettait de tenir sous sa coupe l’établissement d’Indret qui était depuis 1777 une fonderie royale de canons.
Elle eut cette possibilité grâce essentiellement à son curé Danghin qui fit le serment requis par la Révolution et se démena pour cette dernière car il croyait profondément à ses vertus.